Un peintre suédois, Carl LARSSON

Biographie de ce peintre
Carl Olaf LARSSON est un artiste suédois, il est né le 28 mai 1853 à STOCKHOLM, il est mort le 22 janvier 1919. Il était dessinateur, illustrateur, peintre, aquarelliste, peintre de cartons de tapisserie et de compositions murales, fresquiste et décorateur d'intérieur. On appelait Carl LARSSON "l'imagier de la Suède". Il a été également très populaire en Allemagne.
Par ses oeuvres pittoresques et variées ce peintre francophile a pu faire vivre sa famille de son labeur.
Larsson décrit sa vie familiale dans l'univers coloré de sa maison du village de Sundborn, dans la région pittoresque de Dalécarlie (*). L'album "Notre maison" et les suivants qui connurent une grande diffusion, ont inspiré les jeunes couples sur le point de fonder un foyer. Ils firent de lui le porte-étendard d'une nation fière de son confort domestique, et de ses valeurs humanistes. Ses aquarelles continuent d'ailleurs d'influencer la décoration intérieure en Suède.

Autres explications sur ce peintre, ouvrez le lien : 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Larsson
(*) Dalécarlie - voir le lien :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dal%C3%A9carlie

Photos de quelques unes de ces oeuvres dans le post suivant

Ha non, je ne connaissais. Et je trouve ces peintures très belles, très simples, un peu comme dans nos écoles primaires des années,1960.
J'aime beaucoup, c'est une belle découverte, je vais m'informer plus, merci Flo

je ne connaissais pas non plus, ma Flo. Ces images sont simples et chaleureuses, oui, Brie à raison, ça ressemble un peu à ces illustrations de notre livres à la petite école. J'aime beaucoup ! merci de le faire connaître.

Je trouve ces aquarelles très bien faites, il a minutieusement peint tout ce qu'il voyait dans les pièces, en plus ces pièces sont très jolies, bien décorées, et puis ce n'est pas le genre d'aquarelle qu'on a l'habitude de voir, ça sort de l'ordinaire !

Je découvre, moi aussi, je ne connaissais pas du tout ! merci, Flo, quelle bonne idée !  
On dirait vraiment un imagier du temps jadis, c'est joli, poétique même, très soigné ; je trouve l'art de la composition remarquable.

J'aime beaucoup !
C'est vrai que ça rappelle les illustrations de nos livres d'école.
Flo

J'ai 'impression qu'ils avaient l'électricité à cause de l'abat-jour dans Karin lit
Mais par contre ils n'avaient pas l'eau courante je suppose que le tonneau dans la cuisine et la bassine près de la fenêtre servait l'un pour tirer l'eau l'autre pour faire la vaisselle

très observatrice, ma Suzanne !

heu... Suzanne ?

Vi, c'est çà, LeMumu

La 1ère photo du peintre à droite on voit la cuisinière, ça évoque plein de souvenirs  
ça me fait penser à la petite cuisinière de mes 2 grand-mères paternelle et maternelle, elles avaient une petite cuisinière avec un four dans la souillarde, ma tante à la campagne en avait une plus grande pareil à côté de l'évier en pierre, plus grande car comme elle avait beaucoup de vigne il fallait faire la cuisine pour les vendangeurs, on mettait le café le matin à chauffer dessus, puis les repas du midi et soir, et on entretenait le feu avec du bois.
Je vois le tonneau sur la photo. Pour l'eau le père de ma tante allait la chercher à une source à 4 kilomètres dans la forêt près de chez lui , il avait un tonneau assez grand qu'il portait sur ses épaules ... il fallait le remplir d'eau de la source,  heureusement qu'il était très grand et costaud, donc l'eau était précieuse car ça représentait beaucoup de travail pour lui en allées et venues tous les deux jours, ceci en attendant d'avoir un puits à quelques pas de la maison, puis beaucoup plus tard, des années plus tard, l'eau courante, j'ai connu ça chez eux car les maisons isolées du Gers on eu l'eau courante très tardivement.

C'est beau et çà chauffait bien.
Nous en avions un aussi, blanc. Ma mère y mettait aussi la lessiveuse à linge, et à confiture.
Mon père faisait de grosses patates, et de bonnes tartines beurrées et salées.
J'aimais les regarder faire. Nous y mettiions, enfin, mon père y mettait du charbon

Celle de ma maman était blanche émaillée avec une barre en cuivre. Elle y mettait parfois un torchon à sécher. Cette cuisinière fonctionnait au charbon : le boulet. Elle chauffait bien ! Je me souviens très bien d'elle......
 Maman avait fait un rôti dans le four et laissé la porte ouverte. Je n'étais pas bien grande et j'avais reculé imprudemment .... j'ai été brûlée très fort à l'arrière de la cuisse par le haut de cette porte.
Dans le village, il y avait une vieille dame qui "arrêtait le feu". Tout le monde l'appelait par son prénom : Sylvanie. Papa m'a emmené chez elle. Je pleurais de douleur. Elle a passé ses mains sur la brûlure sans me toucher, en marmonnant des prières. La douleur a cessé et quelques jours plus tard, je n'avais qu'une légère trace. Il y a longtemps que ma cuisse n'est plus "défigurée" (!)
Mon père qui n'était vraiment pas crédule n'a rien compris au film.... à la maison, il n'arrêtait pas de me dire : "tu n'as plus mal, ma puce ? plus mal du tout ? c'est sûr ?". Comme la brûlure avait bon aspect le lendemain, il ne m'a pas emmené chez le médecin, mais il a eu l'occasion de lui en parler.  L'homme n'a pas eu l'air étonné, il à dit à Papa : "j'ai déjà constaté ça sur plusieurs personnes qui ont vu Sylvanie, je ne m'explique pas..... Il y a des choses dans la vie qui existent mais que l'on ne comprend pas."
Quand Sylvanie est partie pour "un monde meilleur", la petite église était pleine à craquer et il y avait encore autant de gens massés dehors.
Alors, Sylvanie, où que vous soyez, merci encore !

Une belle histoire, mystérieuse et émouvante, merci Ysou et merci Sylvanie (quel joli prénom...).

Moi aussi je me rappelle de la cuisinière à la maison elle était noire !

Une chance qu'il y ait eu Sylvanie, Ysou, tu t'imagines (tu te figures) avec la cuisse défigurée ?

Les coupeurs de feu, par le fait de prières (faut être vachement investi) stoppent les dégâts et enlèvent les douleurs. Et çà marche, enfin, pour les brûlures par trop répandues.
C'est un mystère , un don qui se travaille

J'avais un pharmacien autrefois près du pont de pierre qui avait un produit très efficace pour les brûlures, hélas je n'en ai plus et il a fermé, il la tenait de personnes qu'il avait rencontrés dans des forêts du brésil quand il était en voyage, c'était très efficace, un mélange de plantes, j'ai testé ça m'a calme de suite la douleur, et le lendemain plus de traces de la brûlure sur ma peau. Un vrai miracle !

Je découvre ce peintre ! Vraiment extra et curieux en même temps ... Les deux dernières vues ressemblent à tes photos à s'y méprendre ! Par contre, je trouve superbe les portraits des deux Suzanne ! Merci Flo de ce beau partage !

Et si c'était de l'aloé vera, Flo ? j'ai cette plante sur mon balcon. On coupe une branche, et dedans, un gel qui réhydrate la peau.
Cette plante a de multiples propriétés

je ne connais pas Brie, il faut que je regarde ça de plus près, aloé vera, j'en ai entendu parler

BrieLes coupeurs de feu, par le fait de prières (faut être vachement investi)elle était sacristine, Sylvanie ! alors tu penses.... très au contact de Dieu.pour ce qui me concerne, j'avais 6 ou 7 ans, et la religion ne me tracassait pas des masses !   Quant à mon père, ce n'était pas sa tasse de thé !