Quand on a à faire avec des dames aussi sympathiques qui, non seulement racontent leur merveilleuse histoire mais en plus donnent envie de prendre le TGV direction Perpignan, comment se décider à pousser sur le bouton de mon petit appareil, pour les laisser jusqu'à demain ? Impossible, je te dis ! Impossible !
Je demande pardon, par contre, à Irène Frain : si j'avais lu un peu plus loin avant de donner mon avis, j'aurais dès lors compris pourquoi le papa ne veut plus sortir de la maison, n'aime plus que son jardin.
Une fois de plus, l'horrible guerre est passée par là...
Gros bisous