Nicole YRLE (France)

oui, bien sûr ma Nic, je n'y pense pas au livre d'Or !!!

Suzanne a écrit:

La Balaguère n'était-elle pas dans un autre de tes recueils de nouvelles ?

Tu as raison, quelle mémoire ! J'ai dû vérifier pour te répondre    Elle figure dans le recueil  Clin d'œil avec 13 autres.

Je reviendrai sur ce post 

BRIe a écrit:

Je reviendrai sur ce post 

Toutes les Clefs y sont les bienvenues 

le lémurien a écrit:

oui, bien sûr ma Nic, je n'y pense pas au livre d'Or !!! 

Tous mes lecteurs y sont aussi bienvenus ! 
Ysou, ton commentaire sur La balaguère  m'a rendue comme ça :   Je ne vais pas bouder mon plaisir devant tes compliments ! Surtout que les récits et nouvelles fantastiques ne plaisent pas à tout le monde...
Et je vais en profiter pour te laisser " lire le subconscient de l'auteur, le cheminement de cette silencieuse pensée...."    : en fait, il y a quelques années, alors que je passais en voiture, j'ai vu plusieurs jours de suite un livre abandonné sur un muret qui bordait une propriété ; je ne me suis pas arrêtée, cela aurait d'ailleurs été dangereux, et donc j'ignore tout de lui ! Ensuite il a disparu. Mais à partir de là, mon imagination s'est mise en branle, pas tout de suite non, bien plus tard ; mon esprit vagabonde aussi beaucoup du côté de mes souvenirs de lectures d'enfant et la balaguère, qui souffle par ici de temps à autre, salit notre terrasse, la piscine, nos voitures etc.  mais ce vent a un joli nom et comme il vient du désert il m'intrigue et me séduit, il me fait rêver... De là à écrire, il n'y a qu'un pas que j'ai franchi.

j'ai fait mon apprentissage de fantastique et de science fiction assez tôt ... Avec le mensuel "Fiction" qui éditait les meilleurs auteurs anglo saxons, alors... j'adore, et depuis longtemps.... ma p'tite pomme d'api toute rose
Mais... je n'ai pas fait de compliments, j'ai juste exprimé ce que je pensais après relecture de l'objet.. du délit !

Ah merci pour l'explication de la petite graine (en l'occurrence le livre) qui a mis en route ton imagination !

Je "connaissais" la dame j'ai découvert l'auteur dans "Couleur Corail". Cela m'a donné envie de la relire.
Par un miracle expliqué mais non explicable j'ai eu en mains le livre carte postale "Douceur et Amertume.

Etrange et émouvant récit d'une rencontre improbable. Deux être en apparence si différents à commencer par l'âge qui se sentent attirés par l'autre, qu'on ne peut expliquer que par un mystérieux appel du sang. 
Sur une toile de fond des vignobles et des grands crus, Laurent finit par découvrir qu'il avait retrouvé son grand père.
Le vieil homme par fierté et par dignité, une fois de plus coupe les ponts pour ne pas faire honte à Laurent.
Très belle histoire qui m'a ému.

Merci Rebel pour ce commentaire.  Je suis heureuse que ma nouvelle t'ait plu.  
Pour toi, le vieil homme "coupe les ponts pour ne pas faire honte à Laurent", c'est une interprétation intéressante, d'autres lecteurs peuvent y voir d'autres raisons... Comme quoi, chacun a sa façon de s'approprier une histoire.

Voilà quelque temps déjà que j'aurais dû vous présenter en bonne et due forme mon dernier né     : la seconde époque du roman inspiré de la vie tumultueuse de F. de Fossa. (400 pages, 18 euros, chez Cap Béar Editions)


4e de couverture :

Juillet 1813, François de Fossa est à Bayonne et retrouve la France qu’il avait fuie lorsqu’il était jeune homme.
Le Premier Empire s’écroule, la société est en ébullition, le peuple inquiet se prépare au pire. Seuls les nobles et les notables rêvent au retour de la monarchie, l’aristocratie savoure déjà sa revanche. Une ère nouvelle est en marche où chacun évolue, s’adapte, cherche à comprendre, à
vivre ou à survivre.
François de Fossa espère revoir enfin sa soeur Thérèse, restée à Perpignan, et trouver sa place dans le monde. Mais l’époque troublée de la Restauration fera longtemps obstacle à tous ses projets jusqu’à ce qu’il devienne officier dans l’armée du roi.
Au cours de la seconde période de son existence, il connaîtra des fortunes diverses, à l’image de cette France aux abois qui se relève difficilement,
minée par les luttes intestines.
Malchance et tragédie marqueront le destin de François de Fossa et, plus que jamais, la musique restera son refuge : interprète et compositeur, il donnera alors le meilleur de lui-même.

En suivant les pas de l’officier-musicien, vous entrez dans une époque fascinante où les rapports sociaux sont en mutation perpétuelle. Les
temps changent...

Nicole Yrle dépeint avec brio cette période passionnante de notre histoire.

Je vais certainement changer d'opinion envers ce pauvre malchanceux ! j'ai hâte de le lire ce deuxième volet. Enfin.... j'ai hâte "d'avoir le temps" de le lire.
Finalement, il n'était pas si malchanceux que ça ! il avait reçu un fabuleux don en naissant !

le lémurien a écrit:

Je vais certainement changer d'opinion envers ce pauvre malchanceux ! j'ai hâte de le lire ce deuxième volet. Enfin.... j'ai hâte "d'avoir le temps" de le lire.
Finalement, il n'était pas si malchanceux que ça ! il avait reçu un fabuleux don en naissant !

A voir ! Je ne sais vraiment pas comment tu vas le "juger", cette fois-ci. C'est vrai qu'il a reçu un fabuleux don en naissant mais.... je n'en dis pas plus !

En attendant de recevoir le second livre de De Fossa, je viens de terminer un autre livre de nouvelles de ma Nic intitulé : La pierre de Rose

RESUME


Que reste-t-il d’un homme ou d’une femme quand ils sont morts et que tous ceux qui les connaissaient sont morts à leur tour ? Une tombe dans un cimetière qui, à son tour, disparaît ? Longtemps après pourtant leurs noms sont encore inscrits dans des registres paroissiaux, des actes d’état civil ou des minutes notariées. Voici cinq histoires qui mettent en scène des personnages insolites d’une même famille paysanne, émouvants ou troublants, jeunes et moins jeunes. Tous ont réellement vécu, ils ont surgi de documents d’archives datant parfois de plus de deux cents ans. C’est en Comminges, tout près des Pyrénées, qu’ils sont nés, ont grandi, travaillé, aimé, souffert. Aux yeux de l'auteur, ils sont devenus des figures d’autant plus attachantes que leur vie a gardé son mystère et cette partie restée dans l’ombre, elle la fait venir à la lumière, puisant dans son imagination ce que la petite histoire des gens du peuple enterre avec eux. Ce livre est une invitation à partager les chagrins, les joies, les émotions et les rires de Pierre, Louis, Baptiste, Elisa, Rose et quelques autres … Que reste-t-il d’un homme ou d’une femme quand ils sont morts et que tous ceux qui les connaissaient sont morts à leur tour ? Une tombe dans un cimetière qui, à son tour, disparaît ? Longtemps après pourtant leurs noms sont encore inscrits dans des registres paroissiaux, des actes d’état civil ou des minutes notariées. Voici cinq histoires qui mettent en scène des personnages insolites d’une même famille paysanne, émouvants ou troublants, jeunes et moins jeunes. Tous ont réellement vécu, ils ont surgi de documents d’archives datant parfois de plus de deux cents ans.

Que dire, Sapho ?

Mission accomplie désolée pour le retard

ma Nic, je surveille ma boite à lettres ......

Suzanne a écrit:

Mission accomplie désolée pour le retard

Tu n'as pas à être désolée. Merci.

coucou ma Nic ! ça y est, je l'ai !!!!! je t'envoie un mail 

heu... j'ai mis mon début de texte dans brouillon ... comment je fais pour le retrouver quand je vais revenir tout à l'heure ?

il est vrai qu'après ma Sapho, j'ai du mal à donner un commentaire ... le sien flirte avec la perfection. 
 J'ai déjà parlé du style, de cette écriture qui semble n'être que la prolongation de la personnalité profonde de l'auteur.
J'ai été touchée par la tendresse qu'elle éprouve pour ces gens qu'elle n'a pas connu. Peut-être s'est elle prise d'affection pour eux à travers Michel, leur descendant ? peut être en a t elle fait sa propre famille... oui, sans doute, et je le comprend totalement.
Ils vivaient il n'y a pas si longtemps, après tout ! et pourtant, dans notre confortable XXIème siècle, leur façon de vivre nous est étrangère. Il en est ainsi pour chacun de nous, lorsque nous pensons à nos arrières ou arrières arrières grand parents. Le monde a tellement changé !
Pierre et Marie Yerle, d'abord. Ils renaissent sous les doigts alertes de Nicole. Le choc des générations existait déjà à cette époque,
je les suis pas à pas, et tente de les imaginer à travers ce qu'en dit l'auteur.
Je me suis prise au jeu : j'ai cheminé près d'eux, vécu avec eux, ressenti leurs peines et je l'ai presque lu d'une traite, ce petit livre.
Etonnante, m'a paru l'histoire de Barbe Bleue, et très triste en fin de compte....
Celle qui m'a le plus émue, c'est Rose ! la douce et gentille Rose, la réprouvée, la reléguée dans la remise .... ha ! les filles mères à ces époques reculées (et même plus récentes) comme elles ont du souffrir ! cette Rose, je la salue avec respect. Rose solitaire, digne, élevant son enfant et lui donnant tout son amour de mère.
La pierre de Rose est, sans conteste, la partie de ce petit livre que j'ai préféré.
Merci ma Nicole d'avoir si bien raconté ces gens simples, courageux et qui faisaient du mieux qu'ils pouvaient en ces temps rudes, malgré les maladies, les deuils cruels, O combien !
merci

Je suis contente que tu aies aimé ces histoires d'autrefois, Ysou. Merci.

Il semble que je sois la première à avoir terminé la lecture de ce roman qui nous raconte la deuxième partie de la vie de François de Fossa.

Plus que jamais la musique tient une place importante dans sa vie. En fait il n'avait pas l'âme d'un militaire, mais il lui a bien fallu survivre en cette période tourmentée où tout est en train de changer.
Par rapport à la première partie de sa vie, il parait plus sympathique, il a mûri.

Bravo à Nicole, pour toutes les recherches qu'elle a dû faire aussi bien historiques que techniques concernant la pratique de la guitare, pour la réalisation de ce roman, écrit dans son style pur et romantique.

Si je comprends bien, je te tiens compagnie pendant ton insomnie, chère Bathy. Merci pour ton commentaire je suis heureuse que tu aies aimé cette seconde époque, emplie de musique.

Oui, c'est vrai, vous m'avez tenu compagnie pendant quelques nuits François et toi.
Je te fais de gros bisous.

Moi aussi, Bathy, je t'embrasse. Comme toi, j'ai souvent des insomnies vers 3 heures du matin et je prends volontiers un livre.

Je viens de lire les commentaires de Rotko sur Babelio (deuxième tome sur François de Fossa, il me les a envoyé ce matin)
Superbe ! tu ne le mets pas sur ce fil ma Nic ?