les écrits de Marie Chevalier

  et    Marie !
J'avais raté cette nouvelle ! Elle est à la fois amusante et grinçante 

On ouvre un fil sur le Général sur les ronflements ?

J'ai découvert depuis peu  que Marie écrivait des nouvelles et des romans.
La dernière nouvellle que je viens de lire "Il voulait dormir" m'a bien amusée. Surtout la fin.
Bravo Marie. Continue de nous faire profiter de tes écrits.

merci Bathy  de  m'avoir lue.  bisous

Marie ? c'est une histoire qui fait aussi écho à nos vies, à nos amours, à l'autre. Nous sommes obligés d'y réfléchir  
Est ce que le ronflement est un prétexte à une séparation ?
"je ne te supporte plus " pars !
"je t'aime toujours", mais je préfère partir !
Comme on aime se compliquer la vie.... avec le temps, c'est différent. On relativise, et on ne laisse plus sa place aussi facilement  
Merci Marie pour ses moments différents de la vie
(Bébo ronfle aussi... et moi, il m'est arrivée de m'entendre "ronfler", quelle horreur ! )

moi aussi je ronfle   
mais je mets des boules quies pour ne pas entendre  Henri et Zoé ronfler  

Marie, j'ai pris plaisir  comme,toujours à te lire.


 .j’ai terminé ton livre. Le récit m’a époustouflé oui,  tu as grossi les faits d’accord mais tout est vrai et cela me laisse ..comment dire..pas pensable que tu ai connu tout cela.Je pensais  que c’était fictif pour une grande patrie du récit.Magnifique, tu écris admirablement  bien.
On sent que tu respecte, aime ton cousin.tu ne blâmes pas  la vie qu’il mène que du contraire.Ah bon, l’histoire de Justine et Hélène est vraie.Cela devait jaser au village.
 
je ne trouve pas  que tu fais passer le fils pour un violent.Au contraire, c’est un pauvre gars  qui est aux mains de 2  femmes .C’est surtout Justine qui le rend violent.quelqu'un qui boit a toujours une raison, au début car après il boit pour oublier.Ici, il est malheureux et il pense  avoir une tare.
en lisant ton livre, je n’en voulait pas à Nicolas mais bien aux femmes, surtout Justine.
C’est certain, qu’épileptique, il ne  devait pas boire , mais  avec sa mère et tante , comment faire autrement.Il noyait son désespoir, sa  vie ratée.. sa mère possessive..jalouse..

ton livre m’a tenu en haleine de la 1° à la dernière page.Mazelle où vas –tu chercher tout cela


encore bravo.
j'attends ton prochain roman.


je dois encore lire "vies saccagées"

merci Odelette de ta fidélité.  
j'ai apprécié ton "ressenti" de ce roman, car je dois avouer qu'il me tient vraiment à coeur.  

oui  tu as tout compris  

merci Odelette

Oui il s'agit du vécu de ces dames de  ma famille 
le seul petit écart que je me suis  donné,  c'est  la fin. C'est beaucoup moins  idyllique que ça dans la vraie histoire  

 
 
 
 

Y'a longtemps que je ne suis venue par ici, j'y reviendrai donc  

Arfffffff, tes commères sont vraiment vilaines, Marie, mais y'en a, des comme çà  

Elles ou ils se nourrissent de petites choses, mais souvent. Faut toujours qu'elles ou qu'ils soient alimentées. Sinon, leur vie serait trop triste et terne.
C'est vrai aussi, que , dès la maternelle, dès la vie en socièté, en fait, elles oeuvrent déjà à petite échelle  
Faut être bon enfant avec eux, sinon, elles ou ils deviennent des choses noires qui coassent

ouiiii !! tu les reconnais  à l'école  dans les  petites classes  elles  papotent entre elles et  sûr l'une d'entre elles qui n'est pas dans leur "cercle"    en prend  plein le nez  lol

 bref merci d'être  passé  tu sais tu viens quand tu veux  il y a  pas mal de lecture  

Brie a écrit:

Elles ou ils se nourrissent de petites choses, mais souvent. Faut toujours qu'elles ou qu'ils soient alimentées. Sinon, leur vie serait trop triste et terne.

souvent des gens qui n'ont pas grand chose dans leur vie, leur entourage est restreint,  la famille idem, alors il faut qu'ils trouvent à se mettre sous la dent !

Mais oui, j'y reviendrai  
Arfffffff, je me souviens d'une copine de C.P Blandine, c'était ma copine, nous avions les mêmes cheveux de paille.
Elle était souvent moquée, car elle venait d'une ferme. Nous, nous étions filles de mineurs, mais les plus bégueules étaient les filles d'instit !  
Moi, j'étais déjà coquinette, et je la défendais bien , ma copine Blandine. Tiens, si je retrouve la photo de classe, je la mettrai dans mon trombi

ouiiiii !! mais c'est marrant ce que tu dis moi j'avais une copine  de  mon âge , Geneviève, chatain foncé,  un peu bouclée  et elle était polonaise et assez forte ! ce  qu'elle a entendu la  pauvre  et bien déjà comme toi je m'insurgeais